Au fait... Papa c'est quoi ?

Je me demandais ce que voulait dire papa... et j'ai fait quelques recherches qui m'ont parures, ma foi assez amusantes :

tout d'abord sur Wikipédia les homonymes, j'en ai appris !!! :

tout d'abord l'étymologie :

Citation :

Du latin pappus (« aïeul »).

aussi comment le dire dans d'autres langues, je trouve ce mot magnifique dans la bouche d'un enfant de quelques nationalité ou origine qu'il soit :

Citation :

* albanais : baba (sq)*
* allemand : Vati (de)*
* anglais : dad (en)*, daddy (en)*, pop (en)*
* arabe : لاب (ar)* (alaba)
* arménien : հայկ (hy)* (hayk)
* coréen : 아빠 (ko)* (apba)
* espagnol : papá (es)*
* espéranto : paĉjo (eo)*
* féroïen : pápi (fo)*
* géorgien : მაიკო (ka)* (maiko)
* hongrois : apa (hu)*
* ido : patreto (io)*
* italien : papà (it)*
* japonais : パパ (ja)* (papa)
* néerlandais : pappa (nl)*
* papiamento : pai (pap)*, papá (pap)*, papi (pap)*
* polonais : tatuś (pl)*
* portugais : papai (pt)*
* russe : папочка (ru)* (papotchka)
* tchèque : táta (cs)*
* turc : baba (tr)*
* ukrainien : тато (uk)* (tato)

Citation :

Papa
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom.


Voir « papa » sur le Wiktionnaire.

* Papa est l'appellation donnée communément à un père de famille dans de nombreuses langues.
* Papa est le nom donné au pape en langue italienne.
* Papa est un court métrage québécois de Michèle Pauzer (1992)
* Papa est un moyen métrage français de Laurent Merlin (1997)
* Papa est un film russe de Vladimir Mashkov (2004)
* Papa est un film français de Maurice Barthélémy (2005) avec Alain Chabat
* Papa est un court métrage québécois d'Émile Proulx-Cloutier (2005)
* Papa est une île en Écosse
* Papa Little est une île en Écosse
* Papa Stour est une île en Écosse
* Papa Stronsay est une île en Écosse
* Papa Westray est une île en Écosse

Ce qui nous intéresse est la première définition :

Citation :

Depuis les années 1960, en France, le législateur essaie de promouvoir l'égalité des sexes, allant ainsi à l'encontre de la tendance « naturelle » de la société, qui ne la réalise pas spontanément[1].

Après avoir remplacé le titre « Chef de famille » par celui de « Personne de référence », tout en gardant la prédominance masculine, l'INSEE a attendu 2004 pour commencer à intégrer l'égalité des époux dans le contenu de ses sondages[2].

Le chef de famille détenait la puissance paternelle et avait priorité dans la signature des contrats. Il était le patriarche de la famille dans le sens où celle-ci retrouvait son unité en lui.
Sommaire
[masquer]

* 1 Chronologie dans la législation
o 1.1 En France
* 2 Articles connexes
* 3 Liens externes
* 4 Références

Chronologie dans la législation [modifier]

En France [modifier]

* Code civil de 1804 - Les époux ont un statut foncièrement inégalitaire.
* Loi du 18 février 1938 - Suppression de la puissance maritale, de l'incapacité juridique de la femme mariée ainsi que de son devoir d'obéissance.
* Loi du 22 septembre 1942 - Association de la femme à la direction de la famille.
* Loi du 13 juillet 1965 - Réforme des régimes matrimoniaux : les Françaises n’ont plus besoin du consentement de leur mari pour choisir une profession ou pour ouvrir un compte en banque et disposer de leurs propres biens.
* Loi du 4 juin 1970 - Suppression de la notion de chef de famille au profit de l'autorité parentale conjointe.
* Loi du 23 décembre 1985 - Nouvelle réforme des régimes matrimoniaux : les époux deviennent véritablement égaux au regard de la loi.

Articles connexes [modifier]

* Chronologie du statut de la femme

Liens externes [modifier]

* (fr) Les femmes dans la société et dans la vie politique sous Georges Pompidou

Références [modifier]

1. ↑ Françoise DEKEUWER-DEFOSSEZ, Doyen de la Faculté des sciences juridiques, politiques et sociales de Lille - Loi, libertés et moeurs
2. ↑ Chiennes de garde - Exit, le chef de famille

c'est ptet pas passionnant, mais ça instruit pour la dernière partie, par contre... je ne suis pas tout à fait d'accord, ils ont plutôt l'air de faire sentir que c'est une fonction plus qu'un rôle

c'était réelement le cas dans le temps. les rôles de "papa" et "maman" étaient clairement définis. Aujourd'hui, il n'en est plus rien (bien ou mal: à débattre) puisque il arrive de plsu en plus d'avoir des "père au foyer" et donc les "rôles" ancestraux sont carrément inversés. Maintenant, la prochaine étape estd e savoir comment la loi va encore devoir changer face à l'homosexualité qui finira bien par se voir reconnaitre le droit d'avoir des enfants (adoption et autre). Il est d'ailleur dommage que malgré une formidable avancée dans les mentalités (ton article le prouve), la religion soit encore si présente que ces couples gays ne puissent toujours pas avoir les mêmes droits que les autres (en dehors du mariage et encore la Belgique est pionière). Affaire à suivre...

pour ma part je pensais devenir père au foyer, mais !!! avec un peu de chance je vais pouvoir retravailler !!!

Il est clair que je trouve cela dépassé de croire que la religion régit encore la vie de famille.

Personnellement agnostique, je pense que le droit d'adoption pour les homosexuels qu'ils soient gay ou bien lesbiens seraient une formidable avancée des mentalités d'une part et de la société en général.

Seulement, je me pose la question en ce qui concerne l'équilibre de l'enfant, et son intégration dans cette même société. Ne sera-t-il pas gêné de voir les autres enfants avec des parents hétérosexuels? Ne se posera-t-il pas de questions existentielles?

Je suis pour le droit d'adoption pour les homosexuels qui le désirent et qui sont prêts à offrir leur affection à des enfants ayant un vécu souvent difficile.

En ce qui concerne le rôle de papa, je ne pense pas être objective. Depuis presque un an je ne côtoie plus mon père. En effet, dans un divorce, il y a toujours des conflits qui font que des paroles blessantes peuvent être dites. Mon père a refusé de me payer mes études. Il m'a traitée de prostituée en plus vulgairement. Depuis, j'ai eu du mal à avoir confiance en la gente masculine. Heureusement, je ne généralise pas. Je sais que d'excellents pères existent. Et j'espère que mes enfants ne subiront jamais ce que j'ai subi. En revanche et c'est paradoxal, je ne lui en veux pas. Il devait avoir ses raisons. Mais je ne pourrai jamais lui pardonner.

Bref, pour moi, le père idéal n'est pas celui qui reste au foyer. Je pense que même si les deux parents travaillent, la vie de famille peut être privilégiée. Le père idéal joue avec ses enfants, au foot au basket, aide à faire les devoir. Le père idéal est tout simplement présent. Pour ses enfants comme pour sa femme.
Je crois en l'égalité des tâches ménagères
J'aime à croire en une famille moderne.

Cassandre, je dois dire que je suis assez d'accord avec toi en ce qui concerne les possibilités d'adoption pour les couples gay..
Déjà pour uniformiser les possibilités entre les lesbiennes, qui si vraiment veulent un enfant peuvent toujours "se faire mettre enceinte"... et les couples d'hommes qui de ce côté sont moins favorisés!!
Mais en ce qui concerne l'équilibre de l'enfant;... je dois dire que j'ai énormément de mal à concevoir qu'il ait deux mamans ou deux papas... je ne remets absolument pas en doute les capacités de ces personnes à aimer et à éduquer peut-être même mieux que certains couples hétéros... mais.... il y a un mais!! Et je le place dans cet équilbre qui fait tout de même qu'une famille se compose en principe d'un papa de sexe masculin, d'une maman de sexe féminin et des enfants...
Les animaux élèvent ils leurs petits à l'image des couples homosexuels?
Est-ce vraiment ce que la nature avait prévu??
Je ne sais pas... j'ai du mal à prendre position pour de bon...

Par contre en ce qui concerne tes relations avec ton papa... ne sois peut-être pas trop fermée à son égard, je sais, ce n'est pas facile, mais je t'explique...
Pendant des années, jusqu'à mes 19 ans pour être exacte, mes parents se sont bien souvent disputés et déchirés.. pas vraiment devant moi, mais je le savais... je ne dormais pas toujous lors de leurs débats mouvementés comme ils auraient pu le croire...
Puis en grandissant j'ai plus ou moins pris position pour ma maman, trouvant à mon papa pas mal de défauts... (je ne vais pas m'étaler, ça prendrait deux jours!!!!)...
Puis mon papa est tombé malade et c'est un cancer du poumon qui a eu raison de lui après deux longues années de combat
Je sais que ma maman lui a tout pardonné, elle a tout fait pour lui, pour l'aide, pour être à ces côtés...
Moi, je n'ai jamais pardonné de son vivant.... je rentrais de l'école et je le savait souffant dans sa chambre, je pensais seulement "qu'il crève"!!!
Et bien mes voeux ont été exhaussés...
C'est alors que j'ai réalisé que je venais de perdre mon papa... le seul que j'ai jamais eu et que j'aurais jamais, c'est là que tous les souvenirs me sont revenus, et j'ai compris beaucoup de choses.... j'ai pris conscience qu'il m'aimait plus que tout au monde mais qu'il avait toujours eu du mal à me le montrer...
Les années passant, j'ai aussi pu me rendre compte, et comprendre, que ma maman, même si je l'aime plus que tout au monde, n'est pas toujours facile à vivre elle non plus.... et j'ai compris, mais trop tard le mal être de mon papa, qu'il n'a jamais pu exprimer puisque jamais je ne lui ai laissé là chance de le faire...
Réfléchi tu sais Cassandre.... un papa, une maman, c'est ce qu'on a de plus précieux, et toi... parfois... les mots ne dépassent-ils pas tes pensées???

J'ai versé quelques larmes en lisant ton post Nikita...

La blessure est encore présente.

En ce qui concerne mon père, je n'ai jamais pu discuter avec lui car il a toujours raison. Le souci, c'est que cela fait une dizaine d'année qu'il est alcoolique et j'ai toujours voulu le protéger même si ce n'étais pas mon rôle. Je ne comprenais pas ce désir de s'autodétruire qu'il avait. Je pense qu'il a toujours eu un mal être intérieur qu'il n'a pas pu exprimer. Le fait est qu'il nous a menti pendant dix ans à ma mère, ma soeur et moi. Et rien que pour cela, je ne peux lui faire confiance.

Il faut aussi savoir que malgré tout ce qu'il avait fait, lorsqu'ils se sont séparés avec ma mère, j'ai décidé de rester habiter avec lui parce que je le savais alcoolique et que je voulais le protéger (alors que cela n'était pas mon rôle). Et bien, mon père a fait une tentative de suicide, c'était le 27 mars 2006. Alors que je vivais sous son toit.

Alors, je me suis sentie coupable de ne pas l'avoir vu venir. Et je me sens toujours coupable aujourd'hui. Car c'est tout de même mon père. Je suis alors allée habiter chez ma mère. J'ai continué à aller voir mon père les week-end. Jusqu'au jour où ça s'est mal passé. Nous nous sommes disputés, je ne sais même plus à propos de quoi. Ce week-end là, une bouteille de vodka lui avait fait une journée. Le pire c'est qu'il buvait en cachette. Je crois que ce soir là, je lui ai dit qu'il retombait dans l'alcoolisme. Il s'est mis dans une colère noire. Il m'a dit qu'entendre cela de la bouche de sa fille c'était terrible. Moi, je voulais juste qu'il prenne conscience qu'il se détruisait. Mais il m'a dit qu'il ne me pardonnerait jamais.
Je lui ai donc demandé de ma ramener immédiatement chez ma mère. J'étais en larmes. Il n'avait pas compris le but de ma démarche. Je voulais l'aider, c'est aussi le rôle d'une fille!! Il m'a dit que s je passais la porte, il ne fallait plus que je revienne. Je lui ai promis que c'était bien mon intention. Voir mon père se détruire tous les week-end, c'était intolérable. Il m'a ramené et sur les quelques km que nous avons parcourus, il ne roulait pas droit, et on a bien failli se prendre un ou deux arbres. Je crois que le pire, c'était ma soeur à l'arrière, qui pleurait en me disant "Emilie je t'en prie ne fais pas ça...". Elle avait déjà été bouleversée par le divorce...
Je suis rentrée chez ma mère. Et depuis ce jour, je ne suis plus jamais retournée chez mon père. Je n'ai plus jamais mangé avec mon père.
Après quelques temps, j'ai décidé de reprendre contact avec lui. Mais il campait sur ses opinions. Finalement, alors qu'il avait une nouvelle amie, Yohan et moi l'avons invité à prendre l'apéritif. Cela s'était bien passé. Mais les relations ont recommencés à se détériorer. Il ne donnait pas la pension alimentaire, et cela se ressentait chez maman. Ma mère lui a prété sa voiture car il s'était fait saisir la sienne. Trop bonne trop conne. Avec cette voiture, il était sensé venir me chercher à la maison pour m'emmener au lycée. Mais même cela était au dessus de ses forces. Je n'avais pas de bus. Il fallait que je me débrouille. Je me suis donc disputée avec lui. Ma mère voulait reprendre sa voiture pour me la céder. Mon père m'a dit que j'étais ignoble.
Depuis, je n'ai plus de ses nouvelles. Encore actuellement, il ne donne pas la pension alimentaire. Ma mère est au chômage et va aux restos du cœur. Il ne paie pas le crédit qu'ils avaient en commun et les huissiers sont à la porte de ma mère.
Tous les mois, je fais avec 360€ (les bourses de l'enseignement supérieur) pour payer la moitié d'un loyer, la nourriture, les fringues, les déplacements, les cigarettes.
Il avait dit qu'il ne paierait pas mes études et il l'a fait. Car initialement, je devais aller en faculté de droit. Mais je n'ai pas pu.

Tout cela pour te dire Nikita, que certes, il est mon père, mais je ne peux pardonner le fait qu'il ait gâché la vie de ma mère de la sorte. Ma soeur continue à le voir, cela se passe relativement bien. Mais en ce qui me concerne ce n'est pas possible. Il a essayé d'étrangler ma mère. Il a tenté de me frapper. Et je ne peux pas oublier.

Cassandre a écrit:

Et bien, mon père a fait une tentative de suicide, c'était le 27 mars 2006. Alors que je vivais sous son toit.

Alors, je me suis sentie coupable de ne pas l'avoir vu venir. Et je me sens toujours coupable aujourd'hui. .

Oui Cassandre, mais mon expérience personnelle d'avec mon Père (avec qui j'avais d'ailleurs rompu tout contacts pendant 10 ans) je ne vais pas non plus tout expliquer ici, mais il avait des torts, mais j'ai compris que ma Mère en a aussi. Il à fait plusieurs TS mais il y avait toujours des signes avant coureur que j'avais appris à décoder avec le temps ( je suis très observateur, trop peut être), mais qui dit TS ne veut pas toujours dire "je veux en finir", lui il demandait une aide.

Par contre, j'ai eu un ami qui n'a jamais rien laissé parraître, mais le lendemain, il l'avait réussi son suicide.

Ce que je veut te dire, c'est que tu n'a en AUCUN cas à te sentir coupable, c'était SON choix. Et je pense que c'était bien une "TS" autrement il n'aurait plus été là pour en parler par après. Je sais je suis dur, mais c'est à force d'avoir eu des "coups" que je me suis trop endurci.

Excuse moi si cette petite plaidoirie te choque... mais i am what i am...

Et ben dis donc Cassandre, c'est sur c'est pas joyeux!
Un des soucis de mon papa sur lequel je ne me suis pas étalée, c'était son alcoolisme...(mais lui c'était à la bière...)
Petite, je ne m'en rendais pas compte puisque j'ai été élevée par ma grand-mère (en semaine quand il y avait école)... mais quand je suis retournée pour de bon chez mes parents... j'ai assisté (j'avais 13-14 ans alors) à ses rentrées du café...
Il valait mieux ne pas être dans son chemin... ma maman a passé son temps à l'attendre pour parfois se faire "shoter" dedans quand il rentrait, sans parler des insultes et autres gentillesses...
Elle s'est un jour mise entre lui et moi quand il a voulu lever la main sur moi... elle a été prise vraisemblablement d'une poussée d'adrénaline et l'a soulevé et porté dans tout le couloir pour aller le plaquer sur la porte d'entrée en lui hurlant de ne plus jamais lever la main sur moi... (grand moment !! j'en croyais pas mes yeux! )
Un jour, alors qu'il me hurlait dessus me disant qu'il était mon père, et que je lui devais le respect, je l'ai brulé avec une cigarette en lui hurlant à mon tour que mon père était parti depuis longtemps, que devant moi je n'avais qu'un alcoolique, et que JAMAIS je ne respecterai ce personnage (encore un grand moment)
Des épisodes comme ça il y en a eu d'autres et c'est ce qui explique ma position face à lui lors de sa maladie... alors que ma maman a pu lui parler, il a écouté... elle a pardonné...
C'est là qu'est mon plus grand regret... je ne lui ai jamais laissé la chance, une chance de se faire pardonner...
Maintenant ton cas n'es pas le mien... il est vrai que toi tu as déja fait énormément pour lui, c'est bien ce que tu as fait, même si ce n'était pas à toi d'endosser ce rôle, au moins tu as essayé, et si le pire devait arriver, tu n'aurait rien à te reprocher....
Il est évident que quelque chose ne va pas chez lui... mais quoi? pourquoi? il est probable que tu ne le saches jamais... il te traite peut-être comme ça aussi parce qu'il ne veut pas de ton aide, il ne veut pas que tu le vois dans ces mauvais jours.. je ne sais pas...
Par contre, je dirai comme Ace au niveau de sa tentative de suicide... je pense aussi que c'est un appel au secours.. c'est compliqué hein quand on sait que de l'aide tu lui en a tant de fois proposé...
J'espère de tout coeur qu'un jour il comprendra... et que tu pourras avoir de lui une meilleur opinion (ok, y'a du boulot )...
Je te souhaite beaucoup de courage et à ta maman aussi pour continuer à avancer au mieux, et j'espère de tout coeur qu'un jour vous verrez un peu de soleil au bout du couloir...

je ne te comprends que trop bien Nikita...